Je ne suis pas une
vedette
Je n'ai pas de
chronique au Huffington Post
Ou dans le journal
Métro
J'écris pour le
plaisir
Pas pour récolter
des «likes»
Mais plutôt pour
provoquer des débats
Pour savoir ce qui
se passe dans la tête des gens
Un jour, j'ai
demandé à une auteure québécoise connue mondialement de me donner
son avis sur un de mes textes. Elle m'a répondu que ce n'était pas
important ce qu'elle pensait de mon œuvre et que c'était mon avis
qui était important.
Oui mais non.
Dans ce monde où
règne le «politically correct» et où le culte de l'image est
omniprésent, il faut se faire aimer afin d'être connu et il faut
être connu avant de se faire haïr, pas l'inverse.
Je ne
suis pas une vedette
J'aime faire des
réflexions qui font réagir
J'aime confronter
#LesGens à leurs propres inconséquence
Pas pour récolter
des «likes»
Mais plutôt pour
provoquer des débats
Pour savoir ce qui
se passe dans la tête des gens
Les auteurs n'aiment
pas avouer à d'autres auteurs que leurs textes sont bons. Soit le
texte est nul, soit ils sont jaloux du texte.
Personnellement, je
suis jaloux des tribunes donnez à des va-nu-pieds intellectuels. Des
gens qui répètent les mêmes idioties à travers l'histoire. Des
gens qui écrivent sur tout mais ne réfléchissent sur rien. Des
gens qui qui font du «namedropping» pour montrer leur éducation
pour répéter les mêmes mardes avec moins de talent.
Je ne suis pas une
vedette
Je ne suis pas payer
pour faire semblant de réfléchir
Je n'ai pas de
«plug» pour faire publier mes statuts facebook dans un journal
Si j'écrivais un
livre, il resterait dans mon ordinateur
Pas parce que je
n'ai pas de talent
Mais plutôt parce
que je préfère réfléchir plutôt que répéter
Parce que j'aime
provoquer des débats
Pour savoir ce qui
se passe dans la tête des gens
Le milieu culturel québécois est homogène. Les blancs règnent sur cet espace public comme ils règnent partout à travers
le monde. C'est un milieu fermé aux ethnies, fermé aux inconnus et
fermé aux pauvres. C'est un cercle vicieux où les privilégiés se
lancent la balle afin de pomper leur ego et justifier leur salaire.
Pour y entrer, il faut être connu et pour être connu il faut que la
bonne personne aime se faire flatter par tes mots ou par tes maux.
Moi j'ai toujours
mal.
Mais je ne suis pas
connu faque personne ne veut me publier
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