Je bouillonne, j'exulte et je tremble devant l'inéluctable. Une palpitation insensible, quasi perceptible et impossible à comprendre. Même sans son, j'entends la mélodie qui jailli de mes veines pour maculer l'endroit où je verse mon attention. Peu m'importait de cette révélation, sinon que mon intuition insinuait une diminution de la proportion artistique enfoui sous les grèves de mon esprit pourtant si bien ordonné. Plus je découvre et plus je deviens balourd devant l'immensité et cette capacité, que j'ai, d'innover à travers cette cité si peuplé et si vide de sens à la fois. Mon orientation, régulé par une démarche logique, est envahi par la panique et ma vision tellement statique à l'ordinaire, m'est impossible à garder fixée devant tant de beauté et de cruauté. Quoi faire sinon de laissé aller cette passion, ce mélange d'émotion d'amour et de vérité, d'honnêteté et de compréhension devant cette diversité.