Prisonnier de l'ennui, mon enfer solitaire J'étais à l'écart, de la vie, depuis trop longtemps Au point d'oublier la chaleur réconfortante Émanante des soubresauts de mon âme C'est une heureuse coïncidence Que nos chemins se soent rencontrés Mais à quoi bon tenter d'expliquer Plutôt que vivre et saisir à plein bouchée? Le matin, ma première pensée est dirigée vers toi Le midi, le soleil à son zénith domine le ciel comme tu éblouies mon esprit Et c'est le soir venu, au moment où la bise souffle que j'aimerais te tenir dans mes bras toute la nuit te tenir dans mes bras toute la vie