Je bouillonne, j'exulte et je tremble devant l'inéluctable. Une palpitation insensible, quasi perceptible et impossible à comprendre. Même sans son, j'entends la mélodie qui jailli de mes veines pour maculer l'endroit où je verse mon attention. Peu m'importait de cette révélation, sinon que mon intuition insinuait une diminution de la proportion artistique enfoui sous les grèves de mon esprit pourtant si bien ordonné. Plus je découvre et plus je deviens balourd devant l'immensité et cette capacité, que j'ai, d'innover à travers cette cité si peuplé et si vide de sens à la fois. Mon orientation, régulé par une démarche logique, est envahi par la panique et ma vision tellement statique à l'ordinaire, m'est impossible à garder fixée devant tant de beauté et de cruauté. Quoi faire sinon de laissé aller cette passion, ce mélange d'émotion d'amour et de vérité, d'honnêteté et de compréhension devant cette diversité.
Les systèmes de pensée totalitaires ont souvent ceci de commun entre-eux que d'être construits sur les ruines d'oeuvres antérieures révisées par des contemporains pour les goûts autoritaires du jour. Le pillage se fait trop souvent de manière grossière, voir même sur la base de mensonges ou de faux documents. C'est ce même constat que l'on peut faire en lien avec les malentendus autour de l'oeuvre de Michel Foucault, utilisée abondamment par les Judith Butler et autre activistes intersectionnels qui se sont institués comme juges, jurés et bourreaux de l'homme-blanc-hétéro-cissexué. Premier malentendu : l'oeuvre, la vie, le travail, la passion Quand on me parle de l'apport de Michel Foucault, plutôt que de faire comme certains et séparer sa vie de manière chronologique entre « deux moments » - un moment « structuraliste » et un autre « post-structuraliste » et autres niaiseries du genre - , je préfère parler de l'homme à travers les différentes es
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